Histoire Jacques Despars
Bien des femmes l’ont longtemps cru européen, mais il est Montréalais pure laine : Jacques Despars vient d’une famille où l’on était coiffeur de génération en génération.
UN NOM D’ARTISTE
Après des études où il termine premier de sa promotion, le jeune Despars entrera au salon Bernard, rue Sainte-Catherine, que fréquentent bien des têtes connues, de Michelle Tisseyre à Clairette et d’Estelle Caron à Margot Lefebvre. Parmi ces vedettes du moment, bien peu savent que son véritable prénom est Pierre – et qu’il a dû le changer parce qu’un autre coiffeur du même nom travaillait au même endroit.
LA NAISSANCE DE LA MARQUE JACQUES DESPARS
Après s’être porté acquéreur d’un salon à Montréal, c’est finalement à Trois-Rivières que Jacques Despars ouvrira le premier salon de la chaîne qui porte son nom, en 1971. Ce salon, qui n’existe plus aujourd’hui, a permis au nom Jacques Despars de s’imposer dans le milieu et à son entreprise de prendre de l’expansion. Peu de temps après, en effet, Jacques Despars ouvre des salons à Ottawa, Shawinigan, Québec et Montréal. Jacques Despars prend graduellement sa retraite à compter de 2006 et prépare sa relève. Son fils, Patrice, qui travaille auprès de lui depuis 1990, deviendra président de l’entreprise à la suite du décès de son père, en 2008.
UNE RELÈVE QUI SAIT INNOVER
Homme d’affaires avisé, créatif et doué pour les relations humaines, Patrice Despars connaît depuis longtemps les formidables possibilités de la marque Jacques Despars. Stratège chevronné, il actualise le concept des centres de perfectionnement Jacques Despars mis sur pied par son père et crée les boutiques Jacques Despars installées dans les centres commerciaux de Montréal et les environs, de Québec et de Chicoutimi. « Inspiré par l’évolution des habitudes des femmes qui, autrefois, se rendaient chez le coiffeur chaque semaine, Jacques Despars les accompagne jusque chez elles en leur offrant des produits de qualité pour le soin et la beauté des cheveux, ce qui leur convient parfaitement puisqu’elles se rendent maintenant au salon toutes les quatre à six semaines », explique Patrice Despars.